Les objectifs que partagent la Fondation des Femmes et le Crédit Municipal de Paris sont de rendre visible une thématique souvent ignorée du débat public afin d’amorcer une réflexion par les pouvoirs publics mais aussi de sensibiliser le plus grand nombre à cet enjeu, l’émancipation économique des femmes, individuel et collectif.
Les études menées par l’Observatoire mettent en lumière les nombreux enjeux économiques et leurs conséquences, auxquels les femmes sont confrontées au cours de leur vie. Loin de se contenter de dresser un constat, l’Observatoire apparait comme une force de proposition ouvrant la voie à une société plus égalitaire, où les femmes, peuvent jouir d’une émancipation économique véritable et durable.
Les expertes de l’Observatoire de l’émancipation économique des femmes publient régulièrement des notes, à retrouver sur notre site.
Dans ce premier rapport, l’Observatoire de l’émancipation économique des femmes met en lumière les innombrables obstacles et impasses sur le parcours des victimes de violences sexuelles pour accéder à la justice et les coûts que ce parcours engendre.
A travers ces recherches, l’Observatoire de l’émancipation économique des femmes analyse comment le patriarcat économique de l’état dépossède les femmes de leur indépendance économique.
De la grossesse à la retraite, les femmes paient, au sein des couples hétérosexuels, le plus lourd tribut de la parentalité. C’est ce que révèle l’Observatoire de l’émancipation économique des femmes, qui dans cette nouvelle note, s’interroge sur le coût d’être mère.
Si l’amour n’a pas de prix, le divorce a un coût pour les femmes. C’est ce que soulignent les travaux de l’Observatoire de l’émancipation économique des femmes sur le coût caché du divorce : la précarité qui frappe particulièrement les femmes, une fragilisation économique qui s’intensifie lorsque le couple a des enfants.
Dans ce nouveau rapport, l’Observatoire de l’émancipation économique des femmes s’intéresse aux femmes aidantes et aux obstacles économiques qu’elles rencontrent. Dans leur rôle d’aidantes, elles effectuent des tâches plus difficiles que les hommes et sont plus nombreuses à trouver la charge mentale trop importante.