Si vous êtes victime de violences, ce n’est jamais de votre faute. Demander de l’aide pour s’en sortir peut être nécessaire.
Voici une liste, non exhaustive, d’associations qui peuvent vous venir en aide, vous informer, vous conseiller.
Viols Femmes Informations
0 800 05 95 95 (numéro vert, gratuit et anonyme)
Numéro gratuit destiné aux femmes victimes de viol ou d’agression sexuelle, à leur entourage, aux professionnel.le.s : écoute, soutien, information, accompagnement, et aide pour faire valoir ses droits.
Ouvert du lundi au vendredi de 10h à 19h.
AVFT, Libres et égales (violences sexuelles au travail)
01 45 85 24 24
Information, conseils et soutien dans la durée, essentiellement juridiques pour les personnes victimes de violences sexistes et sexuelles dans le cadre du travail. Accueil téléphonique : les lundis de 14h à 17h et les mardis et vendredis de 9h30 à 12h30. Accueil par mail en continu.
Centres d’Information sur les Droits des Femmes et des Familles
Permanences d’information, orientation, accompagnement, notamment juridique, des femmes victimes de violences. Il existe 106 CIDFF répartis sur l’ensemble du territoire français.
Comment on s’aime, le tchat d’En Avant Toute(s)
Tchat anonyme, sécurisé, gratuit, à destination de toutes les personnes qui se posent des questions sur le couple, et les violences. Ouvert du lundi au samedi de 10h à 21h.
FDFA – ECOUTE VIOLENCES FEMMES HANDICAPÉES
01 40 47 06 06
Écoute, orientation et accompagnement social, juridique, psychologique et administratif pour les femmes handicapées victimes de violences et de maltraitances.
Une adresse e-mail est réservée aux femmes avec une déficience auditive : ecoute@fdfa.fr
Ouvert les lundis de 10h à 13h et de 14h30 à 17h30 et les jeudis de 10h à 13h.
Violence Femmes Info
3919
Ligne d’appel destinée aux femmes victimes de violences, en particulier conjugales. Elle est accessible 24 heures sur 24, 7 jours sur 7. Elle est gérée par la Fédération nationale Solidarité Femmes (FNSF), qui rassemble près de 80 associations réparties sur le territoire et qui gère des centres d’hébergement d’urgence et d’insertion, vers lesquels elle peut orienter les victimes.
Ces contacts ne sont pas des solutions d’urgence. En cas d’urgence, contactez les forces de l’ordre au 17.
