
Quant au financement privé, il est également limité. Les fondations et les fonds privés ne ciblent que très peu leur action sur le secteur des droits des femmes. Les fonds et fondations spécialisées sur le sujet sont récents et peu dotés et les dons des particulier.e.s sont insuffisants.
Conséquence de ce manque de financement les structures et associations peinent à remplir leur mission, certaines sont forcées de fermer, les inégalités reculent lentement, les disparités géographiques se creusent et le coût pour la société des inégalités femmes-hommes augmente.
Le rapport appelle à traduire en en priorité d’investissement public et privé la volonté politique d’atteindre l’égalité femmes-hommes et a allouer des moyens suffisants à l’ensembles des programmes dédiés à cet enjeu majeur pour la société française.